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Les pavés, miroirs de la ville.

19 mai 2014

CONCLUSION

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À travers ces articles, on a pu voir que la vie de surface qu'il y a dans les villes impact très souvent la vie souterraine. Ces espaces sont fortement utilisés par les Hommes et sont aussi de plus en plus convoités. Ont peu les classer en trois parties. Les lieux qui sont destinés à être utilitaires, les lieux où l'on peu y vivre et les lieux servant au divertissement des citadins.

Aujourd'hui, une grande ville ne pourrait pas fonctionner si elle n'exploitait pas ses souterrains car ils sont au centre de son organisation. Les nouvelles envies faites par les générations actuelles engendre des adaptations constantes ou les souterrains peuvent devenir des lieux stratégiques.
La ville devenant en générale un lieu plus attractif que les campagnes, voit sa population augmenter voir exploser dans certains cas. C'est pour cela qu'elle doit sans cesse s'adapter si elle veut proposer un cadre de vie agréable.

La vie souterraine des villes reflète donc la vie qu'il y a en surface. Les pavés sont vraiment un miroir séparant un milieu qui est en constante évolution et un milieu qui essaye de s'adapter dans la continuité de celui ci.

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15 mai 2014

Le très haut débit

Fibre

Internet est aujourd'hui présent dans tous les foyers français. La fibre optique va peu à peu remplacer les moyens de transmission actuels qui sont l'ADSL et l'internet par satellite. Ce matériaux est un fil en verre ou en plastique très fin qui a la propriété d'être un conducteur de la lumière et sert dans la transmission de données et de lumière.

Elle offre un débit d'information nettement supérieur à celui des câbles et supporte un réseau « large bande » par lequel peuvent transiter aussi bien la télévision, le téléphone, la visioconférence ou les données informatiques. 20 méga c'est le débit proposé par les opérateurs ce qui permet de voir des vidéos en très haute définition et rapidement.
Cette fibre est alors devenue de nos jours très convoitée par les foyers.
Les opérateurs téléphoniques principalement Orange, SFR, Numericable et Bouygues se sont donc emparés de cette technologie et sont en train de développer un réseau notamment dans les principales villes française.
En effet, ces installations étant encore assez couteuses, il ne serait pas rentable de les mettre en place dans les zones rurales où les habitations sont espacées.
Mis en place en début d'année, ce plan doit permettre de couvrir 50 % de la population d'ici à 2017, et 100 % d'ici à 2022, avec une priorité donnée aux territoires les moins bien couverts en haut débit. Un plan d'investissement public-privé de 20 milliards d'euros sur dix ans est prévu, pour un chantier dont le coût total est estimé à 30 milliards d'euros.

La technique la plus courante pour déployer la fibre optique dans les villes est de creuser une tranchée de section rectangulaire à une profondeur minimum de 0,60 m sous trottoir ou accotement et à 0,80 m sous chaussée. La largeur est elle de quelques dizaines de centimètres.
Le câble est lui posé au fond de la tranchée, généralement sur un lit de sable. La tranchée est ensuite comblée, par des matériaux permettant de garantir la bonne tenue de l'ensemble, en particulier lorsque l'installation est placée sous des voies de circulation. Dans certain cas comme à Paris, afin de ne pas engendrer de travaux et de perturber la circulation les canles de fibre optique sont placés dans les égouts. Cela est aussi plus économique.

 

Grâce à la fibre optique, les transmissions d'informations numériques ne vont plus circuler à la surface dans des câbles ou sur des relais mais vont circuler sous nos pieds. Les nuisances visuels des villes liées à la présence de nombreuses lignes téléphoniques et internet vont peu à peu disparaître et en plus les réseaux seront bien plus performants.

On a avec cette fibre un très bon exemple de l'exploitation du sous sol par les humains afin de combler leurs nouveaux besoins. La ville est en constante évolution tant sous les pavés qu'à la surface.

 

Sources :

 - Audrey Fournier 'Comment la fibre transforme le paysage des télécoms' publié le 13 mars 2014 http://www.lemonde.fr/technologies/article/2014/03/13/comment-la-fibre-transforme-le-paysage-des-telecoms_4381433_651865.html Consulté le 15 mai 2014

- Ministère de l'égailté des territoires et du logement 'Le point sur... Travaux pour un réseau enfoui' publié le 10 janvier 2011 http://www.ant.developpement-durable.gouv.fr/le-point-sur-travaux-pour-un-a196.html Consulté le 15 mai 2014

- Wikipédia 'Fibre optique' http://fr.wikipedia.org/wiki/Fibre_optique

- Numericable 'La fibre optique by Numericable' http://fibreoptique.numericable.fr/

13 mai 2014

Le plus grand métro du monde.

Shanghai, ville la plus peuplée de Chine avec 23,5 millions d'habitants possède le plus vaste réseau de métro au monde. Qualifiée de nos jours de centre financier de l'Asie, elle a sa place de métropole mondiale aux côtés de New-York, Londres Tokyo ou bien Paris.

Pour parvenir à transporter cette immense population, il a été décidé en 1990 de construire un métro pour dés saturer les routes et réduire les nuisances telles que la pollution, le bruit et les bouchons. C'est donc un projet récent par rapport au métro de New-York qui est lui daté de 1868.
La première ligne fut ouverte en 1993 soit seulement trois années après le début des travaux. On compte aujourd'hui douze lignes soit un total de 567 kilomètres de voies et de 331 stations!
Ces chiffres peuvent déjà paraître énormes mais ils seront encore plus grand en 2020. En effet, il est prévu de construire six autres lignes soit une longueur totale de voix de 970 kilomètres.
La plus longue de ces lignes est la numéro 16. Elle ferra 59 kilomètres et ne sera pas construite sous terre mais sur un viaduc en U (le plus grand au monde).

Le métro est un moyen de transport devenu indispensable dans Shanghai et dans de nombreuses autres villes. Il transporte à lui seul 2100 millions de personnes par an.
Le dernier record du nombre de passagers transportés pour une seule journée a été enregistré le 22 octobre 2013 avec 7,548 millions. On ne peut donc pas s'imaginer que ces personnes se remettent à se déplacer en voitures ou en bus.
De plus, ce service offre des conditions de déplacement confortable et rapide. L'hygiène y est bien plus soignée la bas et en Asie en général que dans nos pays occidentales.

C'est pour tous ces atouts que le métro est aujourd'hui présent dans toutes les grandes métropoles mondiales. Pratique et peu cher en général à utiliser c'est aussi un des moyens les plus sûr au niveau de la sécurité même si certains risques sont présents c'est le cas du risque terroriste.
Le sous sol des villes c'est avéré être ici un formidable lieu de déplacement pour la population. On ne le voit pas à la surface ce qui le rend discret. On ne peut s'imaginer des métropoles de millions d'habitants ne possédant pas de métro. Les villes serraient impraticables et la vie citadine bien plus compliquée et désagréable.

 

La vie souterraine des villes reflète donc ici parfaitement les nouvelles demandes de la population et s'avère être un lieu essentiel et stratégique.

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Sources :

- David Barboza 'Métro de Shanghai' publié le 29 avril 2010 sur Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tro_de_Shanghai Consulté le 13 mai 2014

- Publié par un internaute 'Des chiffres et des êtres : le métro de Shanghai' le 29 octobre 2013 sur Contrepoints le nivellement par le haut Consulté le 13 mai 2014

- Photo sur Travel China Guide datant de 2010 http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2Fhttp://www.travelchinaguide.com/images/map/shanghai/expo-metro-map.jpg enregistré le 13 mai 2014

10 mai 2014

OÙ SE TROUVE L'EAU POTABLE À PARIS?

En 2011, les Parisiens ont consommé 525 000m3 d'eau potable par jours. Ceci est conséquent car la ville compte 3 millions de consommateurs. C'est pourquoi Paris dispose de 5 réservoirs d'eau principaux pour faire face à la demande. Trois se trouvent intra-muros, à la Porte des Lilas, à Ménilmontant et à Montsouris et et deux autres sont en banlieue à Saint-Cloud et à l'Haÿ-les-Roses. Le plus grand étant le réservoir de Saint-Cloud avec une contenance de 426 000m3. Construits au XIX ème siècle, ces vastes réserves sont enterrés et recouvertes de 30 cm de terre et de pelouse. Aucun bâtiment n'est construit dessus pour préserver la pureté de l'eau et surtout parce que rien n'est constructible dessus.

Certaines de ces réserves sont des chefs d'oeuvres architecturales. C'est le cas du réservoir de Montsouris. Construit par Belgrand entre 1858 et 1874, il fut pendant un moment avec une contenance de 202 000m3 la plus grande réserve d'eau potable au monde.

Coiffé de deux délicats pavillons de verre et de métal à l'architecture typique du XIXe siècle, il s'étale en bordure de la rue de la Tombe-Issoire et alimente 1/5 de la population parisienne. L'eau est contenu sur deux niveaux. Dans les réservoirs supérieurs, il y a 3,5m d'eau et dans les inférieurs, la hauteur est de 7,5m dont 5m d'eau

Vous pouvez voir ce lieu avec cette vidéo : viewmultimediadocumentservoir Montsouris

 

 

 

 

 

 

 

 

 


La gestion des niveaux d'eau est aujourd'hui complètement automatisée. Pour réguler le niveau de l'eau, il faut tenir compte des pics de consommation qui sont à leur maximum le matin et à leur minimum à partir de 3h. En cas de canicule, il faut prévoir une consommation de 100 000m3 en plus. Pour certifier une eau de qualité, 10 étapes de contrôle depuis le point de captage jusqu'au robinet du consommateur sont effectués. Ces contrôles comprennent 62 critères de potabilité.

 
Le fait que ces réserves soient sous la surface et couvertes assure une sécurité et évite des problèmes comme ce fut le cas en avril 2014 dans la ville de Portland en Oregon aux Etats-Unis. Un jeune homme de 19 ans est allé uriner dans un des réservoirs découverts de la ville. Des tests ont été effectués pour déceler toute pollution mais rien n'a été détecté. Pourtant, la décision de vider entièrement le bassin a été prise soit l'équivalent de 143 millions de litre pour un coup de 35 000$.
De nombreux habitants ont trouvé cette décision scandaleuse.

 

C'est pourquoi la ville de Paris en possédant ses réserves d'eau enterrées a moins de risque sanitaire et n'a pas de problèmes avec des personnes mal intentionnées car ces lieux ne sont pas autorisés au public et plus visités depuis plusieurs années.

La capitale compte aussi 470 kilomètres d’aqueduc et 1 990 kilomètres de canalisation d'eau. Rien n'est visible à la surface. C'est pourquoi la aussi les sous sols dans une ville sont indispensables à son bon fonctionnement. Ils permettent de stocker d'immenses volumes d'eau tout en assurant la qualité.
Même si ces lieux commencent à vielle-ire, ils sont toujours au coeur de l'organisation des villes.

 

Pour aller plus loin:

http://www.eaudeparis.fr/

Sources :

- Jean Marie 'Un merveilleux lac d’eau potable sous Paris' publié en juin 2013 sur consoBlog http://www.consoglobe.com/merveilleux-lac-eau-potable-sous-paris-cg/3 Consulté le 10 mai 2014

- Emmanuèle Bailly avec AFP 'Paris : à la découverte du réservoir d'eau potable de Montsouris' publié le 23 septembre 2012 sur le site de France 3. http://paris-ile-de-france.france3.fr/2012/09/23/paris-la-decouverte-du-reservoir-de-montsouris-91413.html Consulté le 10 mai 2014

- Constance jamet 'Portland jette 143 millions de litres d'eau à cause d'un simple pipi' publié le 18 avril 2014. Le Figaro http://www.lefigaro.fr/international/2014/04/18/01003-20140418ARTFIG00101-portland-jette-143-millions-de-litres-d-eau-a-cause-d-un-simple-pipi.php Consulté le 10 mai 2014

 

 

 

28 avril 2014

SOUS LA VILLE

 

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Sous la ville, est un récit qui nous plonges dans les recoins les plus sombres de l'histoire européenne. C'est une anecdote « minuscule » au regard de l'immensité de l'extermination des juifs en Europe.
La cinéaste polonaise Agnieszka holland a cherché à interroger ses compatriotes et à réveiller leur mémoire. En effet, le scénario est tiré d'une histoire vraie. L'histoire c'est passée en 1944 en Pologne occupée dans la ville de Lvov. Les juifs ont été regroupés dans des ghettos entourés de barbelés.
Ce film Américain relate minutieusement et exactement, le sort hors du commun d'une poignée de juifs du ghetto de Lvov, cachés dans les égouts de la ville pendant treize mois, jusqu'à l'arrivée des troupes soviétiques à l'été 1944.

Les nazis sont arrivés pour liquider le ghetto, une vingtaine de personnes, dont deux enfants, réussissent à se cacher sous terre. Un homme des services publics de la ville, Leopold Socha, les découvres et les guides hors d'atteinte des nazis. Son métier d'égoutier ne le place pas en haut de l'échelle sociale et son hobby de cambrioleur lui interdit même d'y monter. Cet homme cupide commence par monnayer ses services mais il va vite se rendre compte que les juifs sont en plein malheur. Suite à des évasions ratées et des rafles dans les égouts , le groupe est réduit à huit personnes qui n'ont plus les moyens de payer. C'est à ce moment que Socha devient un sauveur, il continue de ravitailler les clandestins, jusqu'à ce qu'ils puissent émerger de leur enfer sans s'exposer à la mort.

Les prises de vues sont fiévreuses, et la caméra se glisse dans les tunnels sombre. On arrive même à une obscurité totale où les personnages sont à peine éclairées par les reflets des eaux fétides. On peut voir la dégradation des victimes liée à cette vie souterraine. Leur peau devient terne, sale et des traits sur leur visages apparaissent. Les survivants ont été témoins d'actes inhumain et ces mois passés dans les tunnels les ont marqués à vie.
Ce scénario provenant du livre de Robert Marshall détaille aussi le chaos moral dans lequel vit le reste du monde.

Les espaces souterrains sont présentés ici comme un refuge. Ces juifs ont eu la vie sauve en se faufilent dans des tunnels sombre et sinistre. Ça aura été leur lieu d'habitat pendant treize mois. Les nazis n'auront pas pu les trouver ce qui montre que c'est un endroit assez inconnu et difficile à explorer.

 

Sources :

- "Sous la ville" : Dans les égouts de Lvov, la rédemption' publié le 9 octobre 2012 sur Le Monde rubrique culture. http://www.lemonde.fr/culture/article/2012/10/09/sous-la-ville-dans-les-egouts-de-lvov-la-redemption_1772369_3246.html Consulté le 28 avril 2014

- Par Allociné 'Sous la ville Bande-annonce VO' publié le 1 er ocobre 2012. http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19409224&cfilm=190423.html Consulté le 28 avril 2014

- Par Alice Leroy 'Sous la ville' publié le 9 octobre 2012 sur Critikat. http://www.critikat.com/actualite-cine/critique/sous-la-ville.html Consulté le 28 avril 2012

 

 
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8 avril 2014

Crypte de Nice.

 

C'est durant la construction de la première ligne de tramway à Nice sur la place Garibaldi qu'une crypte enfouie sous terre datant du XIV ème siècle à été découverte. Ce lieu classé monument historique depuis 2012 s'étend sur 2000m² et à une profondeur de 6m. Il offre une vision sur la ville pour nous plonger cinq siècles en arrière.

C'est en 2004 que le projet de création du tram à mis à jour ce site. Afin de le préserver au mieux, l'opération archéologique du tramway dans le cadre de la loi sur l'archéologie préventive a été lancée. L'INRAP (institut national de recherches archéologiques préventives) a réalisée un diagnostic pour révéler les différents vestiges présents.

Bien sur, cette découverte à mis en suspens les travaux du tramway et donc retardé le projet. Aujourd'hui, la voie du tramway a été aménagée pour que tous les vestiges soient conservés. Cela se révèle très positif pour le tourisme.
Ce site est ouvert au public depuis mi-octobre 2012, les visites se font pas groupe de 15 pour une durée d'une heure. Divisé en quatre parties, la crypte distingue différentes périodes historiques de Nice. Les vestiges les plus importants sont la tour Pairolière qui marquait une des entrées principales de la ville, les restes des différentes fortifications érigées au fil des siècles, l’aqueduc qui approvisionnait la cité au Moyen Âge ainsi que des bastions du XVIe siècle.

Ce nouveau lieu a donc été découvert lors d'une amélioration dans l'organisation des transports de la ville. Il a fallut conserver ces vestiges pour les mettre en valeur et les aménager au public. Les Niçois et le touristes peuvent pour 5€ visiter ce lieu en famille et découvrir le passé de la

Cet exemple de découverte archéologique nous montres que certains lieux peuvent rester inconnus alors qu'ils sont juste sous les habitants. On peut supposer qu'il y aura d'autres découvertes de ce genre dans d'autres villes de Fraplace garibaldince.

 

Pour aller plus loin:  

http://www.youtube.com/watch?v=fkKfYXtrmtY

Sources :

- Ville de nice 'La Crypte Archéologique de Nice' publié en 2012 http://www.ville-nice.fr/Culture/La-Crypte-Archeologique-de-Nice consulté le 7 avril 2014

- Par villa Nice 'La Crypte Archéologique de Nice' publié le 28 février 2013 http://patrimoine.blog.pelerin.info/2012/10/05/inauguration-de-la-crypte-archeologique-de-nice/ consulté le 7 avril 2014

7 mars 2014

UNDERCITY: New York urban exploration.

 

Ce cours métrage d'une durée de 28mn nous présentes Steve Ducan, un explorateur urbain New-Yorkais . On le voit entrain de pénétrer clandestinement dans les réseaux du métro de Big apple. Cet homme est un habitué de cette pratique, c'est un professionnel. Rien ne lui échappe.
Ce reportage nous offres des vues sur la ville que les citadin ne voient jamais. En effet, tous ces lieux sont justes à quelques mètres sous terre mais personnes ne les connait. Les habitants ne vont pas dans les centaines de km de galeries et ne savent pas qu'il y a certains individus rejetés de la société qui vivent sous leurs pieds.

On constate à travers ce reportage que la vie souterraine est assez angoissante. Les bruits produits par le métro sont même effrayant. Même en pleine journée, il y fait nuit noire. Le seul éclairage présent est la lampe frontale que possède l'explorateur. Sans elle, impossible de se déplacer et de voir les danger qui sont permanents (trous, déchets dangereux, eaux sales...). Une scène marquante de ce cours métrage est lorsque Steve Ducan fait la rencontre d'un homme qui vie dans une galerie. On voit à quel point ses conditions de vie sont déplorables et, on a du mal à comprendre comment il a pu en arriver là. Il dort à même le sol dans les déchets. L'humidité y est forte et il doit surement y a voir la présence de rats. Il n'est pas le seul à vivre ainsi, et ils sont même surement beaucoup plus que l'on le pense dans son cas.
La scène montrant l'explorateur dans les égouts nous montres qu'il y a des véritables rivières souterraines sous la ville. Le courant y est assez fort, ce qui met en évidence que New-York consomme beaucoup d'eau ce qui est normale pour une ville de cette dimension.

La scène finale est probablement la meilleur. Steve Ducan monte au sommet du pont de Brooklyn ce qui nous offres une vue de nuit fantastique sur Manhattan. On peut comparer cette ville à une fourmilière, car tout l'espace est occupé.

 

Grâce à cette vision, on se rend compte que ceux sont les pauvres et les exclus de la société qui vivent au bas de l'échelle et dans l'oubli et que les riches eux vivent au sommet et dans la lumière.

Steve Ducan

 

Pour aller plus loin:

http://www.youtube.com/results?search_query=undercity

21 février 2014

Les bunkers nouveaux lieux des soirées parisiennes.

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Tous les jeunes parisiens aiment sortir dans les discothèques et les bars branchés de la Capital. Aujourd'hui, ils peuvent faire de nouvelles soirées organisées par l'équipe de WATO (We Are The Oracle).

Ceux ci ont organisé une fête au thème de la seconde guerre mondiale dans un ancien bunker parisien: The inglorious shelter.Le lieu fût tenu secret jusqu'au jour même. Présent dans les sous sols d'un bar, il a fallut descendre des dizaines de marches avant d'entrer dans un réseau de plusieurs petites salles. La remontée fut assez difficile pour un bon nombre d'invités surtout pour les filles portant des talons et pour ceux qui avaient un peu trop bus.

 Le thème étant celui de la seconde guerre mondiale, on pouvait voir des personnes déguisées en soldats ou en médecins dansant sur la musique du DJ Naughty J dans la salle principale.

Dans les salles secondaires, on trouvait d'autres thème autour de la guerre comme une infirmerie, une maison close ou un café. Des « remèdes alcoolisés » étaient bien sur distribués aux convives. Tous les invités ont joué le jeu et la fête c'est bien passée.

On peut voir grâce à cette soirée que certains thèmes plaisent aux jeunes. Ils sont attirés par l'idée de jouer aux soldats et d'être plongé dans les années 1940. Les sous sols sont ici un nouveau lieu pour s'amuser. De plus, il n'y a pas de problèmes liés aux nuisances sonores comme il peut y en avoir avec certains bars ou discothèques.

 

Sources :

- Par WATO 'The Victorious Shelder : La guerre est finie, rentrez chez vous!' publié le 2 décembre 2013 sur WATO http://agence-wato.com/the-victorious-shelter-la-guerre-est-finie-rentrez-chez-vous/ consulté le 19 février 2014

-Par EP et LG 'The Victorious Shelder soirée underground' publié en octobre 2013 sur Time Out Paris http://www.timeout.fr/paris/clubbing/the-victorious-shelter consulté le 18 février 2014

 

29 janvier 2014

EXPLORATION URBAINE

Explorateur

L'envie d'aller dans des endroits souvent interdits et mystérieux pousse certains individus à faire de l'exploration urbaine (ou urbex qui veut dire la même chose).

Celle ci existe depuis que la civilisation a défini des espaces qui sont réservés à un cercle restreint d'individus. Chaque société voit son espace séparé en trois. L'espace public, l'espace privé et l'espace technique. C'est cet espace qui est méconnu par le grand public. Il suscite la curiosité et peu fasciner.
On peut la définir par une attirance pour les toits, les bâtiments abandonnés et les catacombes aux quelles nous allons nous intéresser. Elle peut s'avérer dangereuse car les lieux visités sont souvent laissés à l'abandon depuis plusieurs années.

Paris possède un formidable réseau de cavités souterraines. Creusé par l'Homme au XIII ème siècle il servait à assurer l'approvisionnement de la capital en pierre pour permettre la construction de bâtiments tels que la cathédrale Notre Dame ou le Louvre.

Nous avons vue que l'exploration urbaine n'est pas nouvelle. En effet, elle existe depuis que les grandes villes existent mais, elle s'est développée depuis quelques années. Elle est devenu une activité pratiquée quotidiennement et qui attire de plus en plus de personne voulant s'essayer à de nouvelles expériences.

En général, ces personnes curieuses d'aller explorer les lieux présent sous leurs pieds, passe un moment mémorable. Des rencontres se font dans les galeries avec d'autre pratiquant de l'urbex.Même si cela peut sembler être un labyrinthe pour les néophytes, chaque tunnel possède le nom de la rue qu'il y a à la surface. Le risque de se perdre est donc limité même si, cette activité reste dangeureuse et souvent illégale.

Ce réseau s'est donc assez bien organisé et, on peut dire qu'il est le reflet de la ville qu'il y a au dessus. De plus, les habitués de l'urbex sont en général des personnes qui fuient la surface, les règles et les individus.

Sources:
-Auteur de Borealy : 'Urbex Exploration Urbaine' publié en septembre 2013. http://www.boreally.org/urbex-exploration-urbaine/ Page consulté le 29 janvier 2014.

-Actias : 'Journée d’un Explorateur urbain : les catacombes de Paris' publié le 14 janvier 2008 sur AGORA VOX. http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/journee-d-un-explorateur-urbain-34326 Page consulté le 14 janvier 2014

-Fabrice Dubesset : 'Confessions d’un passionné d’urbex : vous allez être surpris…' publié le 6 janvier 2014 http://www.instinct-voyageur.fr/urbex-interview-passion/ Page consulté le 29 jnvier 2014.

26 janvier 2014

Après les gratte-ciel, les gratte-terre !

Les villes grandissent de jour en jour. Quotidiennement, de nouvelles habitations sont construites ce qui provoque un étalement urbain très important. Les centres ville sont très souvent saturés et la périphérie devient si vaste que certaines villes se rejoignent. Dans d'autres cas, il n'y a tout simplement plus de place pour construire de nouveaux logements. On retrouve cela pour la capitale du Mexique.

Cette agglomération de 20 millions d'habitants est la troisième aire urbaine du monde derrière Tokyo et New-York. Au cours du XXe siècle, la population de Mexico a été multipliée par 52, alors que celle du pays ne l'a été que par 6. Mais c'est en regardant l'évolution de la surface qu'elle occupe qu'on se rend compte de sa grandeur et de sa vitesse d'expansion. En 1950, sa superficie représentée 220 km². Aujourd'hui, elle est de plus de 1550km².

Les services publics sont donc contraints de trouver des solutions pour pouvoir contrôler cette expansion.
Un projet unique au monde a alors été proposé par des architectes mexicains lors d'une compétition organisé par la ville pour la rénovation de son centre historique. Son nom l’Earthscraper est une forme de pyramide inversée qui plonge vers le centre de la Terre. Il pourrait être bâti sous la Plaza de la Constitucion, le centre emblématique de la ville.

Composé de 65 étages et plongeant à près de 305 mètres sous la surface du sol ce serait un véritable immeuble sous les pieds des habitants. Il pourrait accueillir 10 boutiques, 10 habitations ainsi que 10 étages de musée et 35 bureaux.
Sa structure creuse et ses panneaux intérieurs de verre permettrait tout à la fois une diffusion de la lumière naturelle jusque dans les profondeurs et l’installation de zones vertes à chaque étage.Earthscraper
Même s'il n'y a pas beaucoup de chance que cet immeuble soit réalisé, ce concept reste original et unique. C'est pourquoi la ville n'a pas rendu de véritable verdict quand à sa construction.

Nous pouvons donc voir que les autorités de la ville de Mexico essaye de trouver des solutions pour régler les problèmes de logement et d'encombrement urbains.

Ce projet peut sembler être une utopie pour beaucoup de personne car jamais pareille chose n'a été proposé. Les gens ne sont pas encore habitués et prés à vivre sous terre pourtant, cela permettrait de loger des habitants, des espaces culturels ainsi que des bureaux sans contribuer à l'étalement urbain.

 

Sources:

- Urbanist : Weburbanist 'Earthscraper: Inverted Pyramid Spans 1000 Vertical Feet' publié le 21 mai 2013.
Consulté le 24 janvier 2014. http://weburbanist.com/2013/05/21/earthscraper-inverted-pyramid-spans-1000-vertical-feet/

-Vincent : Vincent Abry 'Earthscraper, le gratte-terre ou skyscraper inversé' publié le 3 octobre 2011.
Consulté le 24 janvier.  http://www.vincentabry.com/gratte-terre-earthscraper-13509

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